CHAOUKI-LI-QACENTINA

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(emission 09/1994) BIJOUX DE L’ATLAS SAHARIEN

Emission

09/1994

CARACTERISTIQUES

Dessinateur: TAHAR BOUKEROUI

Valeur faciale: 3,00  5,00 et 12,00  DA

Format: 25mm x 35mm et 35mm x 25mm 

Dentelure: 14

Imprimeur: Imprimerie de la Banque d'Algérie.

Procédé d'impression: Offset

Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 1,00 DA affranchie à 21,00 DA avec oblitération 1er jour illustrée.

Vente 1er jour: Les Dimanche 16 et Lundi 17 Octobre 1994 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA ET ORAN.

Vente générale: Le Mardi 18 Octobre 1994 dans tous les bureaux de poste.

N° Y&T: 1070-1071-1072

N° AP : 748-749-750

 

 

 

 

 

 

BIJOUX DE L’ATLAS SAHARIEN

L’artisanat reflète fidèlement les traditions des peuples et des nations. 

Il est le témoin par excellence de l’histoire, car il se veut toujours le résultat des activités de l’homme dans une étape définie de son histoire et de son évolution. 

C’est à ce titre, et vu la place importante qu’occupe l’artisanat  dans les sociétés, son rôle aussi bien historique que civilisationnel et son intérêt économique, que le Conseil ministériel de l’Union du  Maghreb arabe chargé du Tourisme et de l’Artisanat a recommandé,  lors de sa réunion des 24, 25 et 26 octobre 1993, de célébrer  annuellement la Journée de l’artisanat maghrébin le 16 octobre. 

Pour marquer cet événement, dès 1994, l’Administration des Postes  et Télécommunications algérienne a décidé d’émettre une série de  timbres-poste représentant des bijoux de l’Atlas saharien. 

L’Atlas saharien, vaste territoire où se côtoyaient des populations  aussi bien nomades que sédentaires, présentait tous les avantages  susceptibles d’y développer l’installation d’une bijouterie riche et  prospère. Par leurs déplacements intermittents, les bijoutiers eux-mêmes contribuaient largement à la diffusion de leurs bijoux. 

Mais les bijoutiers choisissaient de s’installer surtout dans les grands  centres, comme El Bayadh, Djelfa et Boussaâda où la clientèle était  importante et variée : citadines, femmes des ksour et des douars,  ainsi que les nomades de passage.

Dans ces régions, les femmes avaient une préférence pour les parures  de tête, diadèmes (mechbek, haslilou), boucles d’oreilles (mcharaf,  khorsa), agrafes, pendants de tête et jugulaires, ainsi que les  colliers composés le plus souvent de pièces de monnaie (cherka et chentouf).

P.T.T

Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA

 

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11/03/2013
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