(emission 17/1999) REFERENDUM SUR LE RETABLISSEMENT DE LA CONCORDE CIVILE
Emission
17/1999
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: SID AHMED BENTOUNES
Valeur faciale: 5,00 – 10,00 et 24,00 DA
Format: 25mm x 35mm
Dentelure: 14
Imprimeur: Imprimerie de la Banque d'Algérie.
Procédé d'impression: Offset
Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 2, 00 DA affranchie 41, 00 DA avec oblitération 1er jour illustrée
Vente 1er jour: les Mercredi 15 et Jeudi 16 Septembre 1999 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA ET ORAN.
Vente générale: Le Samedi 18 Septembre 1999 dans tous les bureaux de poste.
N° : 1217-1218-1219
Danses folkloriques
Relevant pour l'essentiel de la vie quotidienne, le folklore renforce le sentiment d'appartenance à une communauté. En Algérie, chaque région se distingue par ses us et coutumes et c'est cette somme de traditions et d'usages qui constituent en fait l'identité des groupes.
Les danses folkloriques développent plusieurs fonctions visant toutes à développer justement ce sentiment communautaire. En traversant le temps et les âges, elles figurent aujourd'hui parmi les composantes essentielles de notre vaste patrimoine culturel.
Outre les danses collectives, comme el bandou, exécuté par les hommes et les femmes pour fêter l'arrivée du printemps ou encore pour célébrer la circoncision des jeunes garçons, d'autres danses caractérisent la région chaouie, certaines individuelles, d'autres collectives, lui donnant ainsi sa spécificité et un cachet propre à elle.
Si la musique et le chant ont une place prépondérante dans la vie culturelle targuie, la danse, elle, est de moindre importance. Des danses comme la tahigalt et la tazangharath – désignant à la fois la danse et le chant – figurent parmi les plus connues, auxquelles s'ajoute le rituel de la sbeïba, célébrant la fête de l'Achoura et durant laquelle hommes et femmes se font face et, tout en chantant, offrent au public qui les encercle un florilège de tableaux traduisant joies, peines et cycles de vie.
Chez les Mozabites, la rigueur et le puritanisme communautaires interdisent à la femme de danser devant une assistance masculine, et ce, contrairement à cette dernière qui pratique plusieurs formes de danses traditionnelles comme adi arnan, accompagnant la saison des récoltes, ou la karabila, danse d'usage lors des grandes fêtes de la région, notamment la fête du Tapis.
P.T.T
Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA
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