CHAOUKI-LI-QACENTINA

CHAOUKI-LI-QACENTINA

l'extraordinaire destin d'un pice

 

Voici l’histoire de l’unique pièce trouvait avec à son doux l’éléphant et a sa la tête de masinisa écrit par MARCEL TROUSSEL. Président de la société archéologique de Constantine dans mémoires l’éléphant céleste.  (Des Bêtes est des plantes dans les symbolismes antiques).

 Eléphant et sanglier   

 Palmier et sylphium

                                          

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Parmi les monnaies de l'Ancienne Afrique au type de l'éléphant, il en est une qui a subi un extraordinaire destin et dont les tribulations seraient dignes de figurer dans le plus audacieux des romans. Il s'agit de l'exemplaire unique d'une monnaie attribuée à Masinissa et classée par charrier sous le no 7 de son livre. Cette pièce rarissime figurait dans la collection du musée de Constantine à une époque ou celui-ci, véritable office ambulant se promenait dans divers immeubles de la ville avec ses caisses de collections (P1. II et III). 

En dernier lieu et avant la construction du musée Gustave Mercier, édifié sur le Coudyat en 1937, à l'occa-cirta Dctuellement (aujourd'hui musée Cirta)

 

Sion du centenaire de l'entrée de la ville de Constantine dans le giron de la France, les collections avaient été installées dans une salle de la Mairie.

 

Quoiqu'il en soit, à une époque qu'il est difficile de Tiddis étant tombée sous les yeux d'un savant numismate, celui-ci fut frappé par la lecture de la phrase suivante : « …3o la médaille na 7, p. 4, pI.I (module non pas 2 comme il est imprimé é par erreur, mais 8 probablement) avec le nom de Masinissa écrit en entier en punique : « M S N S N…. » ; Exemplaire unique qui appartenait au Musée de Constantine et a malheureusement disparu depuis longtemps ;… » (27).

 

Ayant toute une série de monnaies de l'ancienne Afrique dans sa collection, ce numismate fut frappé de Constantine qu'il possédait un exemplaire analogue à celui décrit par Charrier, mais alors que cette pièce comportait au revers ou figure l'éléphant, un «  chance » assez accusé, la sienne au contraire paraissait nette. Un examen plus approfondi permit au détenteur de la pièce qu'il avait acquise en 1947 dans une collection privée, de lui faire découvrir que le document avait été « restauré ». Un grattage judicieux fit apparaître la monnaie dans son état été dérobée un demi-siècle auparavant au musée de Constantine, alors que le détenteur croyait posséder un deuxième exemplaire de la fameuse pièce.

 

Nous devons ajouter, que le possesseur de cette médaille dont la valeur est inestimable l'a offerte gracieusement et en restitution au Musée de notre ville ou la joie nous est maintenant donnée de la contempler et de la palper.

Merci au généreux donateur qui primitivement désirait garder l'anonymat, d'avoir eu assez de noblesse et de grandeur pu, en aucun cas, lui être contestée (28).

 

Mais tandis que ces monnaies sont abondantes et anépigraphes, celle-ci est un exemplaire unique et port au revers, non un cheval galopant à G., mais un éléphant à G., au-dessous duquel se trouve sur une ligne une courte inscription punique (29).

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(27) M. Troussel, in R.S.A.C., vol. LXVI, 1948, p. 144, (Le Trésor monétaire de Tiddis).

(28) Nous n'avons plus aujourd'hui de raison de nous montrer aussi discret puisque M.Pierre Gandolphe, dans les « Constantine a révélé qu'il s'agissait de M.Jean Mazard ancien Président de la Société française de numismatique, devenu depuis, Membre correspondant de notre Société.

(29) L'étude de M.P Gandolphe, rappelée ci-dessus (« A propos d'une monnaie du musée de Constantine » ; Cahiers de Byrsa, 1950, I, p. 161 SS.) mérite attention, non seulement par sa documentations et ses belles reproductions photographique. Voir aussi à ce sujet la note de M. Mazard lui-même dans son Corpus Nummorum Numidiae Maure-taniaeque, p. 30, no 17.

 

 

Aujourd'hui un duplicata a été fait a l'occasion de Alger capitale de la culture arabe pour la donner en gaize de cadeaux aux participent mais malheureusement ou heureusement un retarde dans la fabrications a fait quelle na pas été donnes.

 Maintenon elle et en vont dans le misée de Cirta pour un pris modique de 500 DA.

 

                                                                   Par : djeghim chaouki

 



08/05/2009
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