CHAOUKI-LI-QACENTINA

CHAOUKI-LI-QACENTINA

(emission 16/1999) 45EME ANNIVERSAIRE DE LA REVOLUTION

Emission

16/1999

CARACTERISTIQUES

Dessinateur: SID AHMED BENTOUNES

Valeur faciale: 2 x 5,00 DA

Format: 44mm x 64mm

Dentelure: 14

Imprimeur: Imprimerie de la Banque d'Algérie.

Procédé d'impression: Offset

Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 2, 00 DA affranchie 12, 00 DA avec oblitération 1er jour illustrée

Vente 1er jour: les Lundi 01 et Mardi 02 Novembre 1999 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA ET ORAN.

Vente générale: Le Mercredi 03 Septembre 1999 dans tous les bureaux de poste.

N° : 1215-1216

 

 

 

45ème Anniversaire de la Révolution

 

Quarante-cinq ans après le 1er Novembre 1954, la mémoire reste vive. Le peuple algérien se remémore les sacrifices consentis par des hommes et des femmes qui ont payé de leur vie l'indépendance de leur pays. Le 1er Novembre 1954, des révolutionnaires résolus, regroupés sous la bannière du Front de libération nationale (FLN), ont pris les armes et ont décidé de déclencher la guerre de Libération nationale qui devait les mener à l'indépendance.

Leur résolution prise, rien ne devait les en écarter, convaincus qu'ils étaient que le colonisateur français avait totalement usurpé au peuple algérien les plus élémentaires de ses droits, le maintenant dans le dénuement et une misère économique, sociale et culturelle inadmissible. Pour mettre fin à l'oppression et au déni de ses libertés, le peuple algérien n'avait d'autre choix que de prendre les armes pour mettre fin au joug colonial.

Sept ans et demi de guerre ont été nécessaires pour amener l’armée française d'occupation à reconnaître sa défaite face à la détermination des moudjahidine soutenus par la population à travers les campagnes et les villes algériennes. Ni les armes sophistiquées de l'occupant ni ses avions déversant des bombes sur les villages et les mechtas isolés des Aurès, de Kabylie et d'ailleurs ne viendront à bout de la résolution prise par les Algériens d'en finir avec la colonisation.

L'utilisation systématique de la torture pour contraindre les militants à divulguer les secrets de lutte et les plans de guerre du FLN n'aura servi qu'à consolider la cohésion des groupes de moudjahidine et à renforcer leur foi en une indépendance certaine de l'Algérie. Le droit du peuple algérien à l'autodétermination et à l'indépendance fut enfin arraché de haute lutte contre l'occupant, contraint d'ouvrir des négociations avec le FLN à travers le Gouvernement provisoire République algérienne (GPRA).

Le cessez-le-feu interviendra le 19 mars 1962 et sera suivi le 1er juillet 1962 par le référendum pour l’indépendance nationale qui amènera la France à reconnaître l'indépendance de l’Algérie proclamée par le GPRA le 5 juillet 1962, 132 ans, jour pour jour, après l'invasion de l’armée coloniale à Sidi Fredj.

 

P.T.T

Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA

 

 

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02/12/2012
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