(emission 08/1984) VUES D’ALGÉRIE AVANT 1830
Emission
08/1984
CARACTERISTIQUES
Dessinateur: D’APRES PHOTO
Valeur faciale: 0,30 – 0,40 et 0,50 DA
Format: 32mm x 22mm
Dentelure: 14
Imprimeur: Imprimerie de la Banque d’Algérie.
Procédé d'impression: Offset.
Document philatélique: Une enveloppe 1er jour illustrée à 1,00 DA affranchie à 2,20 DA avec oblitération illustrée 1er jour.
Vente 1er jour: Les Jeudi 18 et Vendredi 19 Octobre 1984 dans les Recettes Principales des postes D'ADRAR-ECH-CHELIFF- LAGHOUAT-OUM EL BOUAGHI-BATNA -BEJAIA-BISKRA-BECHAR-BLIDA-BOUIRA-TAMANRASSET- TEBESSA - TLEMCEN- TIARET- TIZI-OUZOU-ALGER-DJELFA-JIJEL-SETIF-SAIDA -SKIKDA-SIDI BEL ABBES-ANNABA-GUELMA-CONSTANTINE-MEDEA -MOSTAGANEM-M'SILA-MASCARA-OUARGLA - ORAN.
Vente générale: Le Samedi 20 Octobre 1984 dans tous les bureaux de poste.
N° Y&T: 822-823-824
N° AP : 493-494-495
L’Amirauté d’Alger est un des symboles de la ville, tant Alger s’est toujours conjuguée avec la mer.
Elle a eu son moment de gloire lors de la reprise du contrôle du port par Khayr-Eddine Barberousse qui, après avoir détruit le penon grâce auquel les Espagnols avaient la ville en ligne de mire, a construit la jetée qui porte son nom en reliant entre eux les îlots et écueils qui faisaient face à Alger.
Ses successeurs procéderont à plusieurs aménagements et améliorations jusqu’à en faire l’un des ports les plus renommés de la Méditerranée.
Les étrangers et les commerçants venus d’Occident par mer à Alger accédaient à la ville par la voûte de l’Amirauté qui s’appelait Bab Dzira.
Koléa a été fondée en 1550 par Hassan Ben Khayr-Eddine, fils de Khayr-Eddine Barberousse. Au départ, elle était surtout peuplée de Maures et d’Andalous.
Les musulmans venaient y vénérer le sanctuaire du saint de la région, Sidi Embarek. Frappée par un violent séisme en 1825, la ville a été vite reconstruite.
L’aqueduc du Hamma a été construit en 1662 par l’Andalou Sta Moussa et consolidé en 1758 par Ali Pacha. Il ramenait l’eau de la source du Hamma jusqu’à la ville sur 5 km, en entrant par Bab Azzoun. L’aqueduc d’Aïn Zeboudja prenait sa source à Ben Aknoun pour rejoindre la Casbah par les Tagarins sur 19 km.
C’est le seul des anciens aqueducs dont subsistent quelques ruines.
Alger était alimentée en eau grâce à quatre aqueducs construits pour remplacer les puits et les citernes (djeb).
P.T.T
Par : CHAOUKI-LI-QACENTINA
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